Les autorités pénitentiaires s’étonnent comment il a pu se suicider, car il avait un moral d’acier. Les raisons ayant pu le pousser à commettre cet acte sont inconnues. Au niveau du milieu carcéral, une enquête policière a démarré.
Jacques Maxime Zourdani purgeait une peine pour une affaire de drogue. En 2017, une perquisition au domicile du défunt avait permis aux limiers de l’ADSU de Curepipe et de Port-Louis de mettre la main sur trois kilogrammes de drogue synthétique. La valeur marchande de celle-ci était estimée à Rs 2 millions. Un important dispositif policier avait débarqué dans la maison entourée d’un mur en pierres taillées et protégée par un système d’alarme.
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